Début 2025, je me suis lancé dans l’une de mes aventures les plus marquantes : la traversée de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, à pied et en packraft.
Après avoir découvert le potentiel infini du packraft quelques années plus tôt en Albanie, la Nouvelle-Zélande représentait pour moi un véritable paradis où randonnée et navigation pouvaient se répondre.

Ses rivières cristallines au creux de vallées sauvages, ses montagnes alpines et ses forêts primaires formaient le décor rêvé pour une odyssée où l’eau et la terre s’entrelacent dans un même souffle, et pour renouer avec une liberté simple, essentielle et sans artifices.
Seul, avec pour tout compagnon un sac de 33 kilos, je me suis lancé dans deux mois d’expédition sur 1 500 km, le plus souvent hors des sentiers, à tracer ma propre route.